Poèsie d'aujourd'hui
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 Harry Potter et le secret de Sirius Black

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Kathleen
Plume d'ange
Kathleen


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MessageSujet: Harry Potter et le secret de Sirius Black   Harry Potter et le secret de Sirius Black EmptyVen 20 Jan - 8:33

Chapitre 1 : Un anniversaire mémorable.

Harry ferma le livre de Potions. Il avait enfin terminé sa lecture et son rapport sur la potion de vieillissement. Fini les devoirs de potions. Il respirait de soulagement quand on frappa à la porte.
- Entrez !
Il s'agissait de Dudley. Depuis son retour de Poudlard, les Dursley étaient beaucoup plus agréables avec Harry, surtout Dudley car il lui avait sauvé la vie. Il arrivait de plus en plus fréquemment que Dudley demande conseil à Harry. Et, cette fois encore :
- J'ai besoin d'aide, Harry ! Je ne sais pas quoi faire.
- Si je peux t'aider… raconte-moi ce qui ne va pas.
- Et bien voilà, au lycée, les professeurs ont particulièrement confiance en moi.
Harry sourit.
- Je n'appellerais pas ça un problème.
Dudley rougit.
- Non, bien sûr que non. Mais il y a une jeune fille qui est assez… bordeleuse. Et les professeurs m'ont demandé de la surveiller.
- Tu l'as fait ?
- Oui, je l'ai suivie et j'ai découvert… Oh, Harry ! J'ai découvert qu'elle dirigeait une bande !
- Je vois.
- Mais, en même temps, j'ai appris qu'elle protégeait une fillette depuis trois ou quatre ans. Une fillette dont la mère, une prostituée, avait été tuée au milieu de la rue. Je ne sais pas si je dois la dénoncer ou pas.
- Elle est gentille, cette fille ou c'est un monstre ?
- Justement, elle est très gentille et aimable. Et Harry, si je t'en parle, c'est pour une autre raison. Son nom…
- Oui ?
- C'est celui de ta mère !
- Tu veux dire qu'elle s'appelle Lily ?
Mais Dudley secoua la tête.
- Je veux dire qu'elle s'appelle Lily Potter.
Harry sursauta. C'était impossible ! Ce serait une cousine lointaine ? Il n'en savait rien. Soudain, des bruits se firent entendre. Six hiboux entrèrent dans la pièce. Le premier apportait la lettre rituelle de Poudlard. La seconde, ses résultats concernant les BUSES. Ses résultats étaient exceptionnels comme on pouvait s'y attendre. Quatre autres hiboux se battaient en duel pour la cage d'Hedwige. Celle-ci était parmi eux. Harry commença par celle d'un oiseau qui venait certainement de Poudlard.
- Cher Harry, un joyeux anniversaire. J'espère que mon cadeau te plaira. Il s'agit d'une miniature de Fumseck, le phénix qui a fourni la plume de ta baguette et qui appartient au professeur Dumbledore. J'espère que tes Moldus ne te font pas trop de misères. Amitiés. Hagrid.
- Oh, que c'est joli, s'exclama Dudley en voyant la miniature.
Harry prit ensuite la lettre d'Hedwige.
- Salut, Harry. Je t'envoie cette lettre pour te souhaiter un bon anniversaire. Mon cadeau est un peu particulier. Il s'agit d'un livre, comme tu dois t'en douter, mais je crois qu'il te plaira. Il s'agit de la biographie d'Ania Creak. En quoi cela t'intéresse t-il ? Et bien voilà. J'ai appris que Ania Creak avait été mariée à Sirius Black et je me suis dit que tu aimerais savoir qui était ta marraine par alliance. Voilà. Bisous. A bientôt. Ton amie, Hermione. PS : Ron pense que le miroir ne marche pas mais je suis convaincue que si. Pourrais-tu te regarder avec quelqu'un d'autre et me dire ce que tu vois. Merci. HG.
- Quel miroir ? Pensa Harry.
Soudain, il se rappela de Coq, qui était là, lui aussi. Il laissa tomber le cadeau, un miroir, sur son lit et lut la lettre.
- Eh, Harry, alors, vieux, un an de plus, ça fait quoi ? Bon ben voilà, bon anniv ! Mon cadeau est un peu spécial. Voilà, c'est un miroir qui te montre l'élu(e) de ton cœur. Mais bon, à mon avis, ça ne marche pas. Je me suis regardé et me suis vu avec Hermione et en fait, elle était juste derrière moi. Donc je crois qu'il ne reflète que toi. Au fait, mes parents t'invitent à passer la fin des vacances avec nous. Envoie-moi la réponse. Salut. Ron.
Soudain, Dudley poussa un cri.
- Qu'est-ce qui t'arrive ? Interrogea Harry.
- Dans… dans ton miroir ! J'ai vu une fille !
L'élue de son cœur. Harry devait en avoir le cœur net. Il regarda et vit une jolie jeune femme avec de longs cheveux bruns et des grands yeux bleus. Puis, il regarda avec Dudley et la jeune fille lui apparut en compagnie d'une autre. Dudley écarquilla les yeux devant la fille élue du cœur de Harry.
- Elle, l'autre fille, c'est Lily Potter !
- Quoi ?
Impossible, pensa Harry. L'élue de mon cœur serait de ma famille. Cruelle destinée que d'aimer ma cousine, même lointaine.
Il se rappela soudain la dernière lettre et l'ouvrit pour la lire.
-Coucou, Harry, c'est moi Sniffle. J'ai fait comme Queudver, tu vois. Sois rassuré, je vais bien et suis en sécurité. Alors, pressé de retourner à Poudlard ? Je n'y serais pas mais deux surprises de moi pour toi y seront. La première porte le nom de ta mère, la seconde porte le mien. Bonne fin de vacances. Sniffle.
Harry avait les larmes aux yeux. Son parrain, son cher parrain était encore en vie. Il était tellement heureux.
- Dudley, tu devrais aller voir cette Lily pour lui dire si tu vas la dénoncer ou pas pendant que je demande à tes parents la permission de me rendre chez les Weasley.
Dudley acquiesça et sortit. Il se rendit près de l'endroit où se trouvait le quartier général de la jeune Lily. Il fut soudain entouré par un grand nombre de gars étranges.
- Regardez, un étranger ! On va s'amuser un peu.
Dudley avait peur. Seul contre tous ces gars costauds, il ne valait plus rien. Mais soudain, on entendit une voix féminine hurler :
- Laissez-le !
Une jeune fille, Lily Potter, semblant tomber du ciel, atterrit devant Dudley.
- Mais, boss…
- On discute mes ordres ?
- Non, non !
Les gars semblèrent aussitôt très pressés de fuir. Lily regarda alors Dudley et lui sourit.
- Tu es le cousin de Harry Potter, n'est-ce pas ?
Trop terrifié pour parler, Dudley ne put qu'acquiescer de la tête. Lily lui fit le geste de la suivre. En arrivant, ils furent accueillis par un grand chien noir. Celui-ci bondit sur Lily pour manifester sa joie.
- Oui, Patmol, oui. Suis-moi, Dudley, je dois te donner quelque chose !
Dudley obéit et finit par se retrouver seul avec Lily. Elle lui tendit un paquet enrubanné.
- C'est l'anniversaire de Harry aujourd'hui. C'est pour lui. Tu lui donneras de ma part, n'est-ce pas ?
Dudley acquiesça à nouveau. Elle le raccompagna alors jusqu'à un endroit où il ne courait plus aucun danger. Il allait partir quand elle le rappela.
- Dudley !
Il se retourna.
- Je sais que tu ne me trahiras pas.
Dudley rentra, troublé par cette rencontre. Il retrouva Harry dans sa chambre, ravi, car les Dursley avaient donné leur autorisation pour aller chez les Weasley
- Alors, Dudley, comment allait-elle, ta Lily ?
- Elle… sait que c'est ton anniversaire. Et aussi que je suis ton cousin.
- Quoi ?
- C'est vrai, je te jure ! Elle m'a même donné ça pour toi.
Harry prit le cadeau et l'ouvrit. C'était une boîte à musique. En l'ouvrant, il y avait un petit couple en train de danser, une petite fille dansait seule à côté et un gros chien noir tournait autour des trois personnes. Harry semblait subjugué.
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Kathleen
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MessageSujet: Re: Harry Potter et le secret de Sirius Black   Harry Potter et le secret de Sirius Black EmptyDim 22 Jan - 5:31

Chapitre 2 : Visite chez les Weasley.

Driiiiiiing !
- Harry, va ouvrir, s'il te plaît !
- Oui, tante Pétunia !
Harry sourit à Mr et Mrs Weasley qui se tenaient devant la porte accompagnés de Ron.
- Bonjour, Harry ! Comment vas-tu ? Demanda Mrs Weasley.
- Je vais bien, merci, Molly. Et vous-même ?
- Parfaitement bien.
- Ravi de te revoir, Harry, dit le père de Ron.
- Arthur ! Le salua respectueusement Harry. Bonjour à toi aussi, Ron.
Pétunia arrivait.
- Bienvenue. Déclara t-elle. Souhaitez-vous entrer boire un thé avant de partir ?
- Non merci, répondit Mr Weasley. Nous sommes un peu pressés. Je dois me rendre à un rendez-vous. Mais c'est l'intention qui compte.
- Allons-y, lança Mrs Weasley.
Harry alla chercher ses affaires et suivit les Weasley.
- Au revoir, tante Pétunia, oncle Vernon et Dudley. A l'année prochaine !
- Conduis-toi bien chez les Weasley, surtout, lui dit sa tante.
- Reviens-nous en un seul morceau, ajouta l'oncle.
- Et si tu en apprends plus sur tu sais qui…
- Je t'envoie Hedwige. Promis, Dudley.
Harry sortit et, une fois dans la voiture, Ron étala sa surprise devant Harry.
- Depuis quand ton cousin s'intéresse à Tu Sais Qui.
- Il ne parlait pas de V… de Vous savez qui, mais d'une fille qu'il a rencontrée. Elle le perturbe parce qu'elle s'appelle Lily Potter.
- Lily Potter ? Répéta Ron. C'est impossible.
- Et pourtant ! En plus, je l'ai vu cette jeune fille. Elle m'est apparue dans le miroir que tu m'as envoyé, Ron.
- Je te l'ai dit, il est bidon ce miroir. Je crois qu'il montre n'importe quoi.
- Peut-être, dit Harry.
Puis il murmura dans son coin :
- Ou peut-être pas.
Dès qu'ils arrivèrent, Harry fut accueilli par Ginny et Hermione. Toutes deux semblèrent très heureuses de le voir. Hermione l'attira néanmoins à part.
- Alors ?
- Alors quoi ?
- Pour le miroir !
- Ah ! Et bien, je l'ai regardé avec Dudley et on a vu apparaître deux filles.
- J'en étais sûre.
- Tu ne me cacherais pas quelque chose, toi, par hasard !
- Quoi ?
- Ron.
- Ah ? Bien sûr, que tu as compris. Je l'aime. Et ce que tu me dis me confirme qu'il est l'élu de mon cœur. Et que je suis l'élue du sien.
Harry sera Hermione dans ses bras.
- Comme j'ai hâte que tout se concrétise pour vous, Mione.
Les journées passaient agréablement au Terrier. Ron et Hermione voulurent savoir combien de personnes lui avaient écrit pour son anniversaire et il leur parla de Sniffle.
- Sniffle est en vie ? Fit Hermione, stupéfaite.
- Moi aussi, j'en suis tout retourné. Je n'en suis pas encore revenu, figure-toi.
- Je suis content pour toi, dit Ron. Ca veut dire que tout espoir n'est pas perdu. Tu vas pouvoir retrouver un ami proche de ta famille.
- Oui, mais j'ignore encore où il se cache.
- Et parle-nous de cette Lily Potter, dit Ron.
- Lily Potter ? Fit Hermione. De quoi s'agit-il encore ?
- Une moldue du lycée de Dudley s'appelle Lily Potter. Il a du la surveiller. Et il a découvert qu'elle dirigeait une bande. D'un autre côté, elle avait sous sa protection une petite fille de cinq ans. Alors Dudley a décidé de ne pas la trahir aux professeurs. Le plus étonnant, c'est qu'elle m'est apparue dans le miroir de Ron. Et elle m'a fait cadeau d'une boîte à musique.
- Comment a-t-elle su que c'était ton anniversaire ? Interrogea Hermione, interloquée.
- Je n'en ai aucune idée. Même Dudley ne le sait pas. Selon lui, elle savait même que Dudley était mon cousin.
- Etrange, dit Ron.
Mais après cette discussion, Mrs Weasley emmena tout le petit monde au Chemin de Traverse pour acheter les fournitures scolaires. Pendant que Hermione et Ron étaient en train d'acheter leurs livres, Ginny isola Harry.
- J'ai quelque chose à te dire, Harry.
- Je t'écoute.
- Je… ne veux pas en parler à Ron, parce que je ne sais pas comment il va réagir et… j'ai peur.
- Ne t'inquiète pas ! Je ne dirai rien.
- Harry, je suis amoureuse.
Harry s'inquiéta. Allait-elle lui dire qu'elle était amoureuse de lui ? Comment devait-il réagir compte tenu du résultat du miroir ?
- Et… de qui ?
- Neville.
Harry sourit.
- Neville ? Neville Longdubat ?
- Ben oui. Tu sais, on est allé ensemble au bal et… je… je l'aime.
- Mon dieu, Neville et toi ? Mais c'est formidable, ça ! Et s'il t'a invitée au bal, c'est qu'il doit tenir à toi. Je t'aiderai, je te le promets, Ginny !
- Oh, merci !
Ginny sauta au cou de Harry. Ron, qui sortait à ce moment là, vit sa sœur dans les bras de son meilleur ami et pesta. Aussi, dès qu'ils furent rentrés, Ron alla voir Harry dans sa chambre et commença par le gifler.
- Ron, tu es fou !
- Ecoute, ça ne me gène pas que tu sortes avec ma sœur. Mieux vaut toi que certains autres. Mais tu AURAIS AU MOINS PU ME LE DIRE !
- Ron, attends !
Il ne voulait pas trahir Ginny, mais ne mourrait pas d'envie de se faire taper dessus non plus.
- Ron !
- Je vous ai vu dans les bras l'un de l'autre, tout à l'heure, au Chemin de Traverse !
- Ron, lâche-le !
C'était Ginny.
- Ginny…
- Laisse-le, Harry n'a rien à voir avec tout ça. Ce n'est pas lui que j'aime. Il m'a seulement promis de m'aider !
Ron était stupéfait.
- Mais dans ce cas, qui est-ce ?
- C'est…
- Ginny, dis-le moi ! Tu sors avec lui ?
- Non, mais je l'aime et j'aimerais bien.
Ron respira de soulagement.
- Donc, tu ne m'as rien caché. Bien. Maintenant dis-moi de qui il s'agit. Je le connais ?
- Oui, c'est Neville.
- Neville ? Longdubat ?
Ginny acquiesça. Ron sourit et la prit dans ses bras.
- Alors, c'est cela que tu me cachais. Que tu aimes un de mes amis ! Mais ça ne m'ennuie pas, Gin. Tant que tu me le dis si jamais tu sors avec, d'accord ?
- Promis, Ron.
Le frère et la sœur s'enlacèrent et Ron s'excusa auprès de Harry. La fin des vacances se passa agréablement.
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MessageSujet: Re: Harry Potter et le secret de Sirius Black   Harry Potter et le secret de Sirius Black EmptyMar 24 Jan - 13:20

Chapitre 3 : Les inconnues du Poudlard Express.

Le matin du départ, Harry, Ron et Hermione eurent rapidement trouvé un compartiment. Ils étaient en train de discuter quand la porte du compartiment s'ouvrit pour laisser place à Drago Malefoy.
- Malefoy ! Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Calme-toi, Potter, je ne suis pas venu te faire des crasses pour une fois. Quoique… Enfin, bref, ma mère m'a demandé de m'occuper de mes cousines mais je ne veux pas m'occuper d'elles. Elles ne sont pas dignes de notre famille. Alors voilà, je vous les laisse. Elles seront plus à l'aise avec vous qu'avec moi. Allez, les filles !
Drago Malefoy s'éloigna et Hermione s'exclama :
- Et bien, entrez les filles, on ne va pas vous manger !
Timidement, les deux demoiselles entrèrent dans le compartiment. Harry écarquilla les yeux en reconnaissant la seconde des jeunes filles. Lily Potter. Ainsi, Lily Potter était la cousine de Drago Malefoy. Quelle ironie ! D'autant que c'était soi-disant l'élue de son cœur. Bien sûr, il devait l'avouer, elle était encore plus jolie en vraie qu'en image. Mais, malgré tout, elle restait un mystère pour le jeune sorcier.
- Installez-vous, dit Hermione. Je suis Hermione Granger, voici Ronald Weasley et Harry Potter. Et vous, qui êtes vous ?
- Toi, dit Harry en désignant Lily, je sais qui tu es. Tu t'appelles Lily Potter et tu étais dans le collège de Dudley.
- Oui, Harry, c'est bien moi. Dudley t'a-t-il transmis mon cadeau d'anniversaire ?
- Oui. Mais comment as-tu su ?
- Mon petit doigt me l'a dit ! Je suis très heureuse de te rencontrer, tu es exactement comme je t'imaginais.
- Tu es une Potter ?
Lily sourit.
- En quelque sorte.
Ce fut sa voisine qui intervint.
- Nous nous faisions appeler Lily Potter et Siria Creak pour notre propre sécurité.
Soudain, Harry se remémora la lettre de son parrain. "La première porte le nom de ta mère, la seconde porte le mien." Lily Potter était le nom de sa mère. Siria, pour Sirius, il en était persuadé.
- Vous avez un lien avec Sirius Black ?
Hermione et Ron regardèrent Harry avec stupéfaction. Lily, elle, se contentait de sourire. Siria se mit à rire.
- Nous sommes ses filles. Siria et Lily Black, filles d'Ania Creak Black et de Sirius Black.
- J'avais donc raison, s'exclama Hermione, Ania Creak et Sirius Black ont bel et bien été mariés ?
- Et ils le sont toujours, dit tristement Lily.
- On dirait que ça t'ennuie, dit Hermione.
- Ce n'est pas que ça m'ennuie, mais, avoua Lily, mon père était depuis treize ans en prison quand il a enfin pu sortir et tenter de se venger et l'année dernière, il a failli mourir. Patmol a du venir habiter à mon QG.
Elle avait sciemment utilisé un nom de code.
- Il était chez toi ? Je me suis demandé quand j'ai reçu la lettre.
- Ma mère, quand notre père a été arrêté nous a envoyé chez des familles moldues différentes pour nous protéger. Pour Siria, elle a utilisé son nom de jeune fille, et pour le mien le nom de sa meilleure amie, ta mère Harry. Et puis, elle a disparu. Quand mon père nous a retrouvé, cet été, nous avons eu droit aux meilleurs professeurs pour égaler notre âge au niveau de magie. Nous avons subi les examens, tout comme vous. Et je rentre donc en sixième année et Siria en septième. Mon père a essayé d'enquêter pour retrouver ma mère, mais rien à faire. Il n'a retrouvé aucune trace d'elle.
Elle faillit se mettre à pleurer, mais se retint.
- C'est lui qui t'a parlé de moi ? Demanda Harry.
Elle lui sourit.
- Oui, il t'adore, ton parrain, tu sais. Il est si fier de toi. Il ne jure que par toi et pense que tu es inégalable. J'ai lu tout ce qui parlait de toi, et c'est bien vrai. Tu es inégalable.
- Tout à fait, confirma Ron.
Harry rougit.
- Mais, et pour Dudley ?
- Je savais qu'il m'espionnait. Je l'ai longtemps cru sans cœur, pendant quatre ans, en fait. Mais cette année, il a changé. Je pense que je te le dois, non ? Je savais bien qu'il ne me trahirait pas, à cause de Marie.
- Ta protégée ?
Lily acquiesça.
- Un jour, je me promenais dans les rues. Elles ne sont pas sûres, tu sais, mais moi, je en risque rien. Je suis la rose noire, et le gang de la Rose, comme on l'appelle, est très connu. Tout le monde pense que s'attaquer à moi est dangereux, mais en fait, je suis sage comme une image. Bref, je me promenais. La mère de Marie était une prostituée des bas quartiers. Mais elle ne voulait plus se prostituer. J'ai vu les hommes de main du type qui donne leurs ordres à tous les gangs de notre coin, en train de la frapper. Ils l'ont froidement abattue devant la petite. J'étais écoeurée. Alors, je les ai empêché de l'embarquer et je l'ai élevée avec moi dans notre QG. Elle n'avait pas même un an. Elle en a actuellement cinq.
- Tu es une fille bien, Lily. Une fille très bien. Tu aurais bien ta place parmi nous, à Gryffondor !
- Merci, Harry. Ton parrain a raison, tu es vraiment gentil.
C'est à ce moment que le train entra en gare de Pré-au-Lard
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